Sujet: Sora Evans Lun 21 Jan 2013, 21:13 Sora Evans L'identitée
Nom : EvansPrénom : SoraÂge : 27 ansOrigine : JaponaiseGroupe : Célébrité
Le handicap
Handicap : Cécité de son oeil droit et il est atteint du syndrôme de Peter PanBrève description de ces handicaps : Cécité de son oeil droit: Il est incapable de voir avec son oeil droit. C'est le noir complet. Syndrôme de Peter Pan: Un esprit d'enfant dans un corps d'adulte... Cela résume ce syndrôme à merveille.Le caractère
Voilà, bien des années ont passé... Le grand Sora au caractère d'enfant n'est plus ce qu'il était. Ce qui change avec l'ancien Sora, c'est sans conteste son sens pratique qui s'est développer et son autonomie acquise. Rappelez-vous, le jeune adulte ne pouvait pas rester tous seul, ne pouvait pas faire grand chose tout seul. C'était une phobie, pourquoi? Sans doute le contexte familial de son enfance, où il était choyé et adulé, et son syndrome qu'il n'avait chercher à arranger et même, qu'il amplifiait sans s'en rendre compte. Maintenant, c'est devenu un Homme, avec un grand H. Il n'est plus vraiment le petit garçon dans un corps d'adulte, enfin en apparence. Bizarrement, peu de personne peuvent le reconnaître, tellement le changement est hallucinant. En fait, son caractère était tellement à l'extrême, que devenir une personne avec un caractère simple, qui se range dans le moule, le rend tout simplement mature, enfin! Donc, pour être plus précis, Sora se débrouille seul, il n'a plus besoin d'aide, comme un grand garçon de 27 ans. Il supporte facilement la solitude, les contraintes de la vie, etc... Enfin, Sora reste quand même atteint d'un handicap, qu'on se le dise. Seulement, celui-ci est moins visible et passerais presque inaperçu, même si certain trait de caractère reste les mêmes. Par exemple, sa gentillesse et son amour pour les personnes ne changent pas. Toujours là pour aider 'importe qui, toujours aussi impulsif dans sa façon d'être, si ce n'était pas le cas, ce ne serait plus Sora. Ses difficultés restent aussi inchangés pour la perception du temps et son caractère à vouloir s'amuser (faire la fête pour être précis) malgré son âge. Justement, il devrait se calmer, chercher à se stabiliser, mais son envie d'aventure, de liberté et surtout sa curiosité l'oblige à bouger en permanence, s'aventurer dans les problèmes des autres pour les résoudre ou encore à s'amuser à taquiner gentiment les gens qui font la tête. Ce qui change énormément pour notre Sora, c'est son côté obscur qui se répand peu à peu dans sa façon de penser. Le gentil Sora, qui ne pouvait pas penser en mal, qui ne pouvait pas dire du mal de quelque chose, qui était trop gentil en clair... Et bien, cela a changé! Parfois, et de plus en plus, il peut devenir violent, déprimé voire agressif. C'est lié à son histoire loin de Pacydna, mais ces épisodes sombres dans l'existence du garçon démontre d'un mal être mentale, car peu à peu, il se rend compte d'être différent des gens de son âge. Vous aurez compris qu'il ne possède plus cette naïveté si merveilleuse, qui l'éloignait des problèmes liés à son handicap. Reconnaître son handicap, surtout se rendre compte que l'on est plus un enfant n'a pas été facile pour lui. Du coup, parfois, il explose et on a du mal à le comprendre. Mais ne vous faites pas de soucis, malgré ce caractère, un petit peu compliqué, il faut se souvenir qu'il est un joyeux fêtard, capable d'assumer sa vie et se comporter comme un adulte, qui peut se traduire par des crises de violences ou de déprime...
Le physique
Sora n'a pas beaucoup changé physiquement, quoique... D'abord, commençons par les banalités. C'est un garçon aux cheveux rouges orangés, évidemment teints il y a un moment déjà, mais comme cela lui va bien, il garde cette couleur peu commune. Sa peau est claire, son oeil gauche est d'un vert émeraude peu banal qui lui donne un air doux et malicieux à la fois. Son autre oeil, ne pouvant pas voir, il préfère le masquer avec un cache-oeil noir. Cependant, il a beaucoup moins de mal avec cette cécité. En effet, il arrive que parfois, il retire son cache et se promène dans la rue, laissant paraître ses deux yeux verts. Il a fortement grandit, devenant un grand monsieur d'1m85 au moins. Son poids se régule, mais ne dépasse pas les 65 kilos pour le plus grand désespoir de sa mère, voulant le voir un peu plus portant pour une grande tige comme lui. Vous l'aurez donc compris, Sora n'est pas très musclé, mais ne vous trompez pas pour autant, il reste quelqu'un de courageux et quand il s'agit d'aider autrui dans un combat, il s'engage dans la bataille. En fait, si niveau force, il n'excelle pas autant qu'il le pourrait, en vitesse par contre... Oui, son physique démontre bien qu'il a prit l'habitude de faire des joggings réguliers, des sports de courses ou d'endurances. Sinon, que pouvons nous dire d'autre sur son physique? Ah oui! Sa voix! Après tout, c'est son job, alors autant en parler! L'idole des jeunes filles, des petites minettes pubères est révolu! En fait, pour être tout a faire précis, il a encore des fans très jeunes ou adolescentes, mais ses musiques sont plus douces et à la fois plus triste, plus sentimentales. Les jeunes femmes craquent pour les slows qui sortent de ses musiques. Cependant, et c'est là que cela change, Sora s'est diversifié! Il chante régulièrement du rock et fait de nombreux featuring avec des djs pour les boîtes de nuit. Pourquoi? Parce qu'il a tout simplement mué légèrement. Sa voix un peu aigu et parfois grave dans ses anciennes chansons, c'est transformé en une voix résolument grave, adulte et tranquille, voire complètement posé, tel un psy. Quand on entend sa voix un peu rauque, on imagine un personnage d'un certain style un peu bourgeois, mais radicalement prince charmant pour les demoiselles. Il n'a pas de problème de diction, il vous envoûte par sa voix de crooner américain. D'ailleurs, en parlant d'américain, on entend à présent un léger accent venu des United States. Le japonais étant un peu chantant, ses paroles dites dans cette langue sont presque risible parfois. Il préfère parfois parler anglais, langue non natale on peut dire -malgré que ses parents, anciens anglais, lui apprenaient cette langue- que l'anglais est sa langue de référence, beaucoup plus adapté à sa voix de maintenant. Parlons maintenant du style vestimentaire complètement bouleversé par tant d'année. Fini les haut-de-forme, les vêtements bizarres! Oust les couleurs qui aveuglaient les passants! Basta les froufrous, les habits du carnaval! Maintenant, Sora est, pourra-t-on dire, clean! Vêtements sobres, jeans, tee-shirt, rien de particulier. Il prend de tout, tant que cela fait adulte. D'ailleurs, il n'hésite plus à ses mettre en costard cravate pour des réunions importantes. Il a bien changé, notre petit Sora avec des accoutrement parfois fort prodigieux, maintenant, il se fond dans la masse. Il devient un homme tout a fait naturel.
L'histoire
Histoire de la première version: ~Sora Evans; voila une identité énigmatique, qui vous intéressera peut-être ou que vous haïrez. C'est ainsi que je vais vous conter l'histoire d'un garçon qui enfant était repoussé des autres à cause de son oeil et qu'adulte, il était repoussé à cause de sa façon de penser. Cela peut paraître triste, mais Sora est un homme rare dans ce monde, car ses rêves se sont réalisés... Posez-vous sur une chaise, que le passé nous ressurgisse et nous éclaire... Action!~ La naissance de Sora ne devait pas être facile. En effet, ses parents venaient d'une classe ouvrière Anglaise, transférés au Japon dans le cadre de commercialisé un produit aux nippons, friand de l'étranger. Le produit se révéla être un désastre économique, l'usine ferma, les parents de Sora furent rapidement au chômage. Plutôt que revenir au Royaume-Uni, ils restérent sur cette terre pleine de mystère. Ils firent de nombreux crédit pour créer une petite boutique vendant des vêtements et des costumes. Le malheur était au rendez-vous, il fallait le croire. Même si le commerce marchait doucement, le médecin de famille était clair, ils n'étaient pas apte à avoir un enfant. C'était une déception profonde pour le couple. Ils s'imaginaient vieillir sans la présence rassurante de leurs chaires. Pourtant [...] On ne commence jamais une histoire par "Il était une fois", si celle-ci n'est pas un conte de fée. En effet, malgré l'avis médical du médecin, la mère de Sora mit naissance à un petit garçon. On devine rapidement son prénom. Et oui, Sora était un enfant roi, pouvait-on dire. Ses parents le chouchoutaient en permanence, c'était leur bébé! L'enfance de Sora fut celle d'un prince! Pour preuve, Sora s'avérait être le mannequin de la famille. Depuis sa naissance à ses 22 ans, ils lui faisaient essayer tous les vêtements de la boutique. L'enfant était très photogénique et en plus, il adorait ses parents, au point qu'il leur obéissait sans broncher. Un enfant modéle disait-on! Il rapportait des bonnes notes à la pelle, il était le meilleur en sport et ainsi de suite... Il devint tellement connu dans le quartier que le commerce de ses parents doubla et ils firent de véritable profit. Ce fut alors qu'il fut récompensé. La plus belle de ses récompenses arriva à l'âge de 9 ans. Ses parents lui offrirent un violon. En effet, depuis qu'il marchait, il esquissait des pas de danse quand ses parents allumaient la radio. Il chantait presque en permanence et plutôt qu'écouter des cantines, il sortait dans Tokyo, à trois rues de chez lui, pour se diriger vers un magasin qui vendait des instruments de musique. Cela peut paraître incroyable, mais Sora était un passionné. Quand il aime quelque chose, cela se voit. Alors, ce violon fut sa merveille à lui. Nuit et jour, il jouait de cette instrument, sans répit. Comme de par hasard, Sora se trouva être un génie du violon. Grâce à des partitions, il s'entraina et sa passion s'avéra être un art de vivre. Ses parents étonnés d'un tel succés, car Sora s'avérait être l'enfant que désirait tous les parents sur Terre, lui achetérent d'autres instruments; d'abord une guitare, ensuite un violoncelle, puis un piano et ainsi de suite. Il les maîtrisa tous. Le bonheur de ses parents ravissait Sora, qui ne comprennait pas l'étendu de son génie. Un enfant beau, qui réussit dans les études, même si basse, un génie de la musique... Il fallait pas oublier sa voix fantastique et son goût croissant pour la danse. Mais, vous devez vous dire. C'est un enfant parfait, manquerait plus qu'il soit riche, aimé de toute les filles et tous le tralala du garçon idéal. On se dit qu'il ne peut pas exister. C'était la vision des parents de Sora. On se pose des questions dans ce genre de situation, mais rapidement il prirent l'hypothése que c'était par sa naissance "impossible" qu'ils mirent au monde un enfant prodige. Seulement, lorsque la chance vous tombe dessus trop longtemps, la malchance devient encore plus brutale. [...] 14 JUIN 19XX; 19H04 Ce jour-là, ce fut le début d'une autre histoire pour Sora, un enfant désiré par tous... Il avait 11 ans, il sortait de l'école. Une voiture qui grille le feu rouge. Un accident. Non, ce n'est pas Sora qui est touché! Mais comme il se trouvait sur le trottoir à ce moment, il reçut un éclat de métal aussi minuscule qu'un moucheron à peine né dans l'æil droit. On ne sait toujours pas comment, mais ce fut fatal à sa vue. L'æil était intact, mais ce fut le noir complet pour le garçon. Il paraissait "normal" à première vue. Son æil n'a pas changé d'apparence, il bouge normalement, sa couleur est resté la même. Mais Sora fut comme "traumatisé" par cet état. Ses parents durent lui acheter absolument un cache-æil. Cela le calma, mais son apparence, qui n'avait changer que légérement, fut un coup de marteau pour ses relations sociales avec ceux qui l'entouraient. Il fut seul du jour au lendemain, ne pouvant compter que sur ses parents. Sora, malgré la peur de ses parents, ne réagit guère à ce changement brutal. Ce fut d'ailleurs durant ce mois de Juin, que ses parents, craignant une chute de morale de Sora, décidérent de l'envoyer dans un casting. Le gagnant de ce casting aurait la chance d'aller en Amérique pour présenter une ligne de vêtements pour enfants et adolescents. Devinez... Qui fut choisi? [...] Ce ne fut pas Sora en tous cas! Son æil s'avéra être un obstacle pour la ligne de vêtements. Après ce premier échec, ses parents l'inscrirent dans une émission: celle qui permettait d'afficher ses talents. Entre les danseurs et les acrobates, Sora s'avéra être le cnadidat le plus jeune. Devant le jury, hors scène, il fut tous de suite remarqué. Il passa les préliminaires sans difficulté et il fut programmé pour passer devant un vrai public. La veille de cette entrée en scène, il demanda à se teindre les cheveux. Ses parents, ne pouvant rien lui refuser, acceptérent. Lorsqu'il sortit du coiffeur, avec des cheveux rouges, tirant vers le rose, ses parents le trouvèrent adorable. Ses yeux ressortaient beaucoup plus. De plus, il demanda pour la première fois un chapeau haut-de-forme. Son voeu fut exaucé. Il voulu par la même occasion son premier corset masculin. Le lendemain, ce fut le début de son succés mondial... [...] Il devait passé le dernier. Les autres candidats avaient eut une note par les membres du jury. Il n'y avait encore jamais eut trois 10. C'était enfin son tour, le public ne savait pas qui allait se présenter devant eux. Les lumières commencèrent à virer aux bleu, c'était son signal. Dans le fond de la salle, ses parents le filmaient. Sora reprit son souffle, les présentateurs le poussérent sur la scène. Lorsqu'il fut devant ce public, immense, Sora sentit ses doigts tremblés. Il posa son violon, leva son bras et commença sa mélodie. Le silence était complet. Au bout de quelques secondes, sa voix fluette se fit doucement entendre. On dit que l'audience, durant ce court instant, monta en fléche. On voulait savoir qui était ce gamin, à la voix si extraordinaire, qu'il provoque le respect de tous. Lorsqu'il lacha sa dernière note et sa dernière parole, le silence régnait encore sur le plateau. Ce fut au bout d'une bonne minute qu'un premier applaudissement retentit, suivit de tous. Les spectateurs se levèrent de leurs places, prêt à monter sur scène pour toucher ce prodige vivant. Le jury faisait de même, jetant leurs 10 en l'air. Sora fut d'abord perplexe devant ce déferlement d'amour, puis il se mit à sourire et comme il était encore un enfant, lorsqu'il vit sa maman, il lui fit un grand signe avec son bras. Sur ce moment, on pensa qu'il saluait son public, ce qui ravagea le cæur des ménagères devant la télé. Une étoile était née, elle se prénommait Sora Evans. [...] Il gagna l'émission. Il devint une star mondiale grâce à la télévision. Les journaux télévisés du monde montrait en boucle la performance du jeune garçon, âgé de 11 ans. Cependant, l'enfant ne prenait pas la grosse tête. Il était lui-même, un point c'est tout. Ses parents étaient heureux pour lui, car son handicap devint une qualité. Au Japon, des adolescentes achetaient le même cache-æil. Les personnes avec des cheveux rouge augmenta considérablement. Les violons venaient à manquer... Les portraits de Sora, ses posters, ses dédicaces, tous les produits dérivés sur lui venaient à être des succés. L'argent coulait à flots, Sora montait sur les plateaux télés du monde entier, toujours accompagnés de ses parents. Voila, sa vie d'enfant star avait commencé. Malgré tous, Sora continuait de fréquenter sa petite école de quartier. Il habitait encore cette maison minuscule. Il jouait encore à se déguiser avec les costumes de la boutique familiale. Enfin, jusqu'à ses 18 ans, sa vie fut la même, il devenait de plus en plus connu, grâce à sa voix, sa gentilesse et sa simplicité. Il recevait des millions de mails, de lettres et de cadeaux. Il continuait ses études dans un lycée pour riche, à cause des problèmes dans son ancienne école. Être attaqué par des fans en délire, ce n'est pas plaisant tous les jours... [...] ~Maintenant, je vais vous compter la partie la plus interessante de la vie de Sora... La plus tragique aussi. Comment une star de la chanson a-t-il pu autant souffrir du malheur des autres, de ses malheurs, au point qu'il décida d'y mettre jusqu'à sa santé en jeu? On pourra lire un récit de courage, certe émouvant, mais qui prouve qu'à 22 ans, on peut devenir un homme bien malgré des handicaps. Ô destin qui nous enroule, démontre que tu peux apporter joie dans le malheur...!~ Malgré ce qu'on pensé, Sora ne voulait pas aller dans un Conservatoire pour faire des études dans la musique. Un choix qu'il assumait, car il rêvait depuis qu'il était enfant de faire carrière dans la danse. C'est assez drôle dans un sens, mais Sora adore danser tellement qu'il voulait être déclaré comme étant un danseur professionnel. Seul démol, avec son æil, impossible de faire une super impression. La danse, c'est le glamour, la légèreté... Enfin, Sora espérait quand même. Ainsi, dans cette école de riche où il étudiait, il se montrait être l'élève modéle. Toutes les étudiantes cherchaient à l'inviter pour se retrouver avec lui. Les étudiants jouaient au foot avec lui. Tous le monde l'adorait, au point qu'il faisait les unes du journal de l'école presque à chaque fois. Sora, quant à lui, était heureux d'être entouré, alors il ne repoussait personne. Il était heureux et comblé, comment ne pas l'être? Cependant, tant de succés, cela peut provoquer la jalousie d'autres élèves. Ce fut le cas, mais cette jalousie était plus de la méchanceté que de l'envie. Ainsi Sora rencontra un jeune garçon de son école. Il paraissait doux et calme. Celui-ci lui proposa d'aller avec lui en vacance d'été dans une résidence secondaire. Sora, touché par la proposition accepta. Il arriva dans un récif montagneux, des plus banales. Le programme s'avérait être alléchant: Sauna, scéance de massage, circuit en 4*4 et bien d'autres choses amusantes. Sora passa deux merveilleux jours. La veille de leur départ, le garçon l'emmena se promener, pour voir le paysage. Soit disant... [...] Radio Tokyo Animateur de radio Tokyo •« Aujourd'hui, une manifestation à eut lieu dans le centre de Tokyo, pour dénoncé la vente de sushi perimée qui circulerait encore dans la capitale... Attendez! Je viens de recevoir une information concernant Sora Evans, idole des adolescentes. C'est... C'est impossible! Je viens de lire la nouvelle, une terrible nouvelle! Sora Evans aurait été précipité du haut d'une falaise, dans le dessein de l'assassiner. Le coupable de ce crime odieux serait un camarade de son école, jaloux de son succés. Il viendrait d'être arrêté et transporté au poste de police. On nous dit que Sora Evans est vivant, mais avec des blessures graves sur l'ensemble du corps. Nous vous informerons si besoin est de cette triste affaire...» Lorsque la nouvelle fut annoncée, la population japonaise fut comme en deuil. Sora Evans représentait l'artiste, le vrai chanteur au cæur pur. Savoir que quelqu'un est pu attenter sa vie montrait que le monde ne tournait pas rond. La méchanceté triompherait? On ne pouvait pas le croire. Un attroupement de jeunes adolescentes, fans du chanteur, c'était déversé sur l'hôpital où le garçon restait hospitalisé. Le diagnostic était lourd. Il était dans un coma plutôt profond. Les parents de Sora, essayaient en vain de calmer leur tristesse, mettant toute leur ardeur dans le travail. Mais leur fils, qui était né de façon difficile, allait-il mourir? Chaque soir, la mère de Sora pleurait autant qu'elle pouvait et le père du garçon remettait en boucle les vidéos souvenirs de son fils adoré. Sur chacun des DVDs, on pouvait lire des petits titres enfantins: Sora qui joue au ballon, Sora qui joue du piano, Sora qui danse sur la table, le 18éme anniversaire de Sora au cæur de Londres... Le père parassait envoûté par l'omniprésence de l'image de son fils, comme si Sora allait sortir de la télévision et qu'il pourrait le prendre dans le creux de ses bras, comme il l'avait toujours fait... Malheureusement, la vidéo se terminait, la télévision s'éteignait et une nouvelle journée sans l'être aimé recommençait. Ainsi, cette tristesse ambiante succéda à une joie euphorique après une annonce hors du commun... Après un mois de coma, Sora se réveilla enfin! [...] Sa première vision fut un plafond d'un blanc immaculé. Lorsqu'il tournait la tête, c'était des dizaines de bouquets de fleurs et de peluches qui le toisaient. Le regard vide des nounours le fit frissonner. Il ne se rappelait de presque rien et encore moins de la raison pour laquelle il se retrouvait dans un endroit pareil. Déjà, où était-il? Il était si fatigué, tellement épuisé... Pourtant, il avait l'impression d'avoir énormément dormi. Il referma ses yeux et le sommeil reprit possession de lui. Lorsqu'il se réveilla à nouveau, ce fut ses parents qu'il vit en premier. Il leur sourit comme il faisait à chaque fois qu'il les voyait. Ses parents paraissaient émus. C'était une étrange sensation. Derrière eux, un médecin commença à raconter la situation dans laquelle il se trouvait: l'hôpital? un coma? un réveil? un mois? Sora ne suivait pas toute l'histoire, ce qu'il voulait surtout, c'était se lever et courir partout, comme d'habitude. Après ce long monologue, le médecin lui apprit qu'au bout de deux jours il pourrait essayer de marcher et que dans le pire des cas, il ferait de la rééducation. Réapprendre à marcher? Mais c'est comme le vélo, on n'oublie jamais à marcher. Sora, vexé par cette remarque, leva son drap et entreprit de mettre ses pieds par terre pour se déplacer. Lorsqu'il se mit debout, deux secondes plus tard il se retrouva étaler par terre. Cela lui servi de leçon. Il dû attendre sagement deux jours avant de pouvoir commencer à se promener difficilement dans sa chambre. Quatre jours après son réveil, il se baladait déjà dans les couloirs de l'hôpital, sagement, s'arrêtant réguliérement car il avait mal à force de marcher. Ce jour-là, il avait reprit son vêtement, malgré l'interdiction des infirmières, mais lorsqu'elles avaient le dos tourné, il se réhabillait "normalement". Il parcourait son étage, son violon avec lui. Au cas où, qu'il veuille en faire sur les bancs mettaliques. Ainsi, c'est de cette manière qu'il rencontra le service dédié aux enfants. Il ne s'y attendait pas spécialement, mais lorsqu'il vit le silence ou les pleures des enfants, son cœur bascula de tristesse. Pour Sora, un enfant doit toujours rire et être heureux, alors voir un ses enfants allongés dans des lits blancs les rendaient presque pitoyables. Ses mains commencèrent à être mointes, il soupira et n'écouta que ses envies. Il alla dans la grande salle et sans qu'on sache comment et pouquoi, il commenca à jouer du violon. Les notes se succédaient, les enfants qui pleuraient commençaient à se calmer grâce à la musique douce qu'avait choisi Sora. On entendait maintenant que le son harmonieux provenant du violon, on voyait certain enfants s'endormirent, un doudou à côté d'eux. Sora se sentait proche de ses personnes, ayant une maladies graves ou des blessures importantes. Pendant une heure entière, il fit son petit concert, rejoint rapidement par plusieurs parents qui l'écoutaient, des infirmières s'arrêtaient un instant, histoire de reconnaître la mélodie et même les parents de Sora, qui l'avaient cherché partout dans l'hôpital, l'avait laissé faire, fier de leur fils. [...] Durant cette période qu'il passa à l'hôpital, il venait jouer du violon pour les enfants chaque jour. Ainsi, il rencontra un jeune garçon. Un enfant de 10 ans qui voyait chaque jour sa mère. Il s'était cassé le bras de façon maladroite. Sora et lui parlait pendant des heures de musique, de jeux et de pleins d'autres sujets. L'enfant connaissait brievement Sora, mais il n'avait jamais pensé qu'il pourrait être aussi gentil et doux dans sa façon d'être. Offrir du temps à des enfants malades, cela n'est pas spécialement commun chez les artistes. Quant à Sora, s'entendre si bien avec une personne de 12 ans son cadet le ravissait. Il apprenait énormément de chose avec ce garçon, du nom de Tom. En effet, Tom se passionnait de la lecture. Il avait déjà lu plusieurs fois des livres de Jules Vernes. Sora n'aimait pas spécialement lire, mais il adorait les histoires. Souvent, quand il était encore enfant, son père lui contait des histoires de princes et de princesses, de dragons et de lions. Il rêvait que ces personnages soient bien réels et qu'ils viennent le lendemain lui conter une autre histoire de leur fabuleuse aventure. Ainsi, Sora s'entendait à merveille avec Tom, au plaisir de sa mère. Celle-ci paraissait las et parfois absente, son regard était toujours rempli de tristesse qui malgré toute la bonne volonté du monde, ne venait jamais à transparaitre chaleureux et doux. Sora cherchait à la comprendre, mais ce fut comme une mission impossible. Tom se taisait lui aussi, bizarrement, sur sa famille et sa vie. Ainsi, pendant le reste de sa convalescence, il se fit un ami, c'était déjà cela de gagner dit-on. Lorsqu'il partit, l'enfant lui donna une adresse, pour pouvoir garder un contact permanent avec ce petit garçon. Ce fut plus un au revoir qu'un adieu. [...] Après plus d'un mois de vide avec son public, Sora décida, malgré les protestations de son entourage, que ce soit familiales ou professionnelles, de faire une sublime tournée dans tous le Japon. Ainsi, il drevrait faire 27 concerts en parcourant son pays, dans les plus grandes salles. A bout de quelques heures, les places furent toutes vendues. Sora cachait mal sa joie, en effet, son public l'aimait toujours autant, il avait vécut comme Sora, dans une attente de revoir la scène. Le jour J, Sora fit fureur sur le plateau, les quelques musiciens qui l'accompagnaient jouaient à la perfection, Sora sautait dans tous les sens, donnant toute son énergie pour ceux qui le regardait en chantant à pleine voix ses refrains. Il était tellement heureux, qu'il serait presque tombé dans son public si son personnel ne l'avait pas retenu de justesse, à cause de son passage passé à l'hôpital. Ainsi, ce premier spectacle s'avéra être un triomphe, les magazines ne parlaient plus de Sora Evans, mais de l'idole des nippons! Lorsque le concert fut fini, que les personnes commençaient à évacuer le stade, chantant encore les airs des plus célèbres chansons de Sora, celui-ci décida de descendre voir ses fans et les rencontrer! A peine fut-il à la vue de ces personnes qu'il fut enlacer, embrasser et câliner à ne plus finir. Cela ne le dérangeait pas, au contraire, les photos étaient prises, les autographes étaient signés et les embrassades faîtes. Ce fut à ce moment qu'il vit une silouhette familière. Il accourut vers elle pour découvrir Tom, trépignant sur place. Sora fut tellement heureux qu'il le prit dans ses bras pour lui faire l'avion. A ce moment, beaucoup des fans durent se dire que c'était son fils ou son petit frère, malgré qu'ils se trompaient lourdement! Tom avoua à Sora qu'il avait adoré le concert. Ce fut comme un soulagement pour Sora, car il pouvait compter sur son jeune ami. Alors, malgré tous, il dû se rendre dans sa loge. Il promit alors à Tom qu'après les concerts il lui téléphonerait et il partirait ensemble en vacance. [...] Les autres concerts furent d'autres succés. Avoir vu Tom l'avait regonfler à bloc, en effet, c'était son seul véritable ami dans ce monde. Chaque fois qu'il posait son pied sur la scène, il se sentait submergé par une vague de joie euphorique. Voilà, c'était à son tour de dévoilé ses ailes de papillons dorés, c'était à lui de montrer qu'il était unique et pourtant, si proche de son public. Sa santé se rétablissait à vue d'œil! Il était le garçon le plus heureux du monde, les nuits de concerts. Ainsi, tous allait pour le mieux, durant toute cette tournée, rien ne vint ébranlé Sora, au point qu'il dû s'inquiéter d'un malheur proche. Puis ce fut à la fin de son dernier concert, lorsqu'il s'assit sur son fauteuil dans sa loge que tous sombra. Son père entra, le visage sombre et les traits tirés. Sora pensa que le spetacle avait dû être pitoyable, voire pire. Ses parents se regardèrent, comme si l'un allait faire mieux que l'autre pour exprimer le malaise ambiant. Après une longue hésitation, le père de Sora murmura doucement, la voix étranglée... Père de Sora•« On doit te dire quelque chose, Sora-kun... C'est à propos de Tom... Il a... Il a été assassiné.» [...] Ce fut un mercredi. Oui, un mercredi que l'enterrement de Tom et de sa mère eurent lieu. Cet évènement tragique était si précipité dans la vie de Sora que celui-ci ne savait plus où se diriger, ni quoi penser de ce monde, de cette vie, des autres personnes qui l'entourent. Comment pouvait-on faire du mal à un enfant et à sa mère? Sora se posait encore la question. Il avait eu vent de l'affaire, en fait, Tom ne s'était cassé le bras tous seul, maladroitement comme il l'avait si bien dit, son père l'avait aider pouvait-on dire. Comment n'avait-il pas comprit avant? Le passé de Tom lui avait toujours été inconnu, alors quand il a apprit la nouvelle, Sora était tombé dans les pommes, sachant qu'il aurait dû deviner avant. De plus, il se sentait encore plus fautif, après tous, la mère de Tom avait demandé le divorce juste après le concert de Sora. Le père n'avait sans doute pas voulu l'entendre de cette oreille. Dire que Tom aurait voulu être chanteur, lui aussi, pour ressembler à son « Sora-aniki ». Devant la motte de terre fraîche, Sora, habillé tous de noir et le visage sombre ne pouvait s'empêché de s'accuser. Tom était mort trop jeune, il aurait dû connaitre plus que dix années, sa mère aurait voir l'amour autre que celui d'un homme violent et possessif. Malheureusement, c'était trop tard. Sora serra ses mains si fort qu'il s'enfonca ses ongles dans sa chair. Malgré la douleur et le sang, Sora ne put réprimer un sanglot. Des convulsions de tristesses le submergérent tellement que ses parents durent l'éloigner de la tombe.A ce moment, lorsqu'il fut à l'écart, Sora fut prit d'une vision. L'idée, la seule et unique vérité! Pour se racheter, il venait de découvrir la solution! Il essuya du mieux qu'il put ses joues devenues chaudes et pourpres à cause des gouttes salées qui coulaient encore sur son visage. Après toutes attentes, Sora appela une grande chaîne de télévision et la nouvelle fut diffuser dans le monde... Sora•« Cela fait trois jours que ma tournée de 27 concerts c'est terminé, comme vous le savez, mais maintenant, je vais en refaire une, dés demain! Elle sera composé de 80 concerts! Les places seront payantes, mais cet argent sera reversé aux associations qui protégent les femmes battues et les enfant maltraités. Je veux que vous annonciez aux japonais ma tournée, je veux les plus grands stades possibles et inimaginables! S'il le faut, je ferais plus de 80 concerts! » Evidemment, ses parents furent horrifiés, ses producteurs à deux doigts de l'assomer et de l'emmener au Canada pour qu'il se change les idées. Mais rien ne put changer l'avis de Sora, pour la première fois de sa vie, Sora prit une vraie décision, son visage montra pour la première fois le regard d'un jeune homme convaincant de 22 ans. Devant ce mur vivant, tous se résignèrent à lui obéir. Les salles furent très vite réservés et les places toutes achetés. Les différentes associations l'appelèrent, mettant leur combat en avant. Le lendemain de cette annonce, Sora entra dans une des plus grandes salles de concerts du Japon. Les places étaient toutes prises, ils avaient même monté des grandins et des chaises sur une partie des entrées et des sorties. La longue et douloureuse tournée commença... [...] Vous devez bien vous en doutez. Après 27 concerts épuisants, 80 furent presque du suicide. Sora chantait de plus en plus difficilement. Il ne gardait plus sa même énergie, malgré toute la bonne volonté qu'il y mettait. Le soir, sachant qu'il avait un concert le lendemain, il venait à ne plus dormir, malgré que la fatigue le tiraille en permanence. Ses parents décidérent de faire une sorte de relais: Un soir le père de Sora essayait de l'endormir avec des contes de fées, malgré un échec cuisant et un autre soir, c'était la mère de Sora qui lui chantait de douces cantines qui ne servaient strictement à rien. Au bout du 12éme concert, il devint livide, tellement fatigué que durant tous le concert, il était obligé d'être assit sur une chaise. Il ne pouvait plus jouer d'aucun instrument, car ses doigts tremblaient de trop. Il devint peu à peu paranoïaque. Il venait à voir Tom et sa mère en songe. Il faisait régulièrement des malaises. Il ne mangeait plus rien, car même une brioche l'entrenait à avoir des nausées douloureuses tellement qu'il était obligé d'être malade pendant plusieurs heures. Ainsi, tous était incapable d'aider Sora, car malgré tous, celui-ci gardait un moral de fer. Il ne cédait pas, à aucun moment... Ce fut au 47éme concert que tous bascula. En effet, à force de chanter, sans trève, Sora se retrouva sans voix. Durant le concert, il ne put chanter. Les techniciens durent mettrent des œuvres pré-enregistrées. Evidemment, Sora voulut remboursé les fans, mais il n'eut pas le courage d'affronter ses producteurs qui refusait catégoriquement. Après tous, il aidait des enfants, non? Les fans devaient s'y attendre! Sora prit l'initiative de jouer du piano, malgré les difficultés à voir la partition devant lui. Dans les derniers concerts, il dû avoir une oreillette avec lui, pour qu'on lui dise la partition, car il voyait presque tous flous. Après cette acharnement, à la dernière note qui passa dans le corps du piano, Sora vint saluer son public qui était toujours aussi émus par la performance de ce garçon si fragile en soi. Après une deuxième révérence, il se comporta bizarrement sur scène. Il titubait, son corps était prit de tremblement profond, ses jambes flanchaient peu à peu. Dans un ultime accés de joie, il sourit à son public et tomba comme un arbre en arrière. La foule fut choqué, en voyant Sora ressortir de scène sur un brancard, porté par des ambulanciers... [...] L'histoire se répète, pourra-t-on dire... En effet, Sora rentra à nouveau à l'hôpital. Le diagnostic fut le même: Coma. Ses parents s'en voulaient terriblement de n'avoir pas put arrêter leur enfant avant. Sora s'était tellement vidé de son énergie que son corps devait récupérer d'une manière ou d'une autre. Sa tournée rapporta gros aux associations, qui remercièrent Sora à la télévision, malgré qu'elles savaient qu'il dormait encore profondément. Cependant, une rumeur se mit à enfler, une rumeur qui devenait peu à peu plus grande. Durant son troisième mois de coma, les magazines peoples japonais mirent en avant cette rumeur: Sora Evans: Un esprit d'enfant dans un corps d'adulte?! . Et oui, malgré tous, ils venaient enfin de trouver l'un des « secrets » de Sora. D'un coup, ce fut comme un coup de revolver. Tous le monde ne regardait plus Sora comme un homme ayant réussit un exploit pour le profit d'associations, mais plutôt comme un garçon atteint du syndrôme de Peter Pan. Beaucoup de fans envoyérent des noms de spécialistes à la famille de Sora. Ses parents durent écœurés de voir qu'ils voulaient tous que Sora change, qu'il devienne comme la moyenne des gens. Qu'il ne soit pas dans un groupe rejeté par la population: les handicapés mentaux. Jamais il n'avait voulu le soigner, car Sora n'avait aucun raison de cela. Après tous, avait-il tenter de tuer quelqu'un? non! Avait-il fait du mal à autruie? non! Avait-il commis un crime impardonnable? non! Etait-il différent des autres? oui! Voilà la seule raison de tant d'animosité qu'éprouvait les gens à son égard. [...] Ce fut sept longs mois qu'il passa dans un lit d'hôpital dans un coma profond. Lorsqu'il se réveilla à nouveau, la première chose qu'il fit, c'est sourire. Oui, il venait de se racheter auprès de Tom et de sa mère. Ils devaient être fier de lui. Malheureusement, ses parents durent lui expliquer l'affaire dans laquelle il était trempé. Il ne comprit pas au début celle-ci. Puis, peu à peu, il fut prit de dégoût, on le repoussait à cause de son caractère. Pourtant, avant qu'il ne sache qu'il était atteint du syndrôme de Peter Pan, ils l'adoraient. Son cœur bascula à nouveau, craignant d'être seul à nouveau. Dans un accés de tristesse, il décida d'informer à son public la vérité. Il ne devait rien leur caché, après tous... L'annonce fut faîtes par la télévision, un aveu émouvant. A la fin de cette annonce publique, il se mit à pleurer, devant les camèras, comme un enfant. Il disait qu'il ne regrettait rien, qu'il n'en voulait à personne mais pour rien au monde, il ne changerait. [...] Quelques heures plus tard, l'hôpital fut envahie par des fans en furie. Sora ne voulut pas y croire, mais c'était pourtant vrai. Il revivait à nouveau. Sa poitrine ressemblait à un tambour, tellement son cœur battait la chamade. Ses yeux furent émerveillés devant une telle foule. Il voulut les voir, ses parents l'emmenérent en fauteuil roulant dans l'entré de l'hôpital. Là, devant ses fans réunient, devant ceux qui l'acclamaient et même le proclamaient, il dit, de sa voix la plus belle... Sora•« Je vous aime! Je vous adore! Ô souffles de ma vie! Vous serez toujours dans mon cœur! Vous serez moi et je serais vous! You are my life! » [...] Le succés retomba sur Sora. Cependant, il décida de se retirer quelques temps, histoire de se reposer un peu. Il voulait essayer de s'assumer seul, de se redécouvrir à nouveau. Pour cela, il voulait côtoyer des personnes comme lui, qui le comprendrait mieux que quiconque. Il apprit alors l'existence d'un ville dédié aux personnes ayant un handicap. Il y trouva une fort jolie villa. Il s'imaginait déjà vivre heureux dans un petit coin où il pourrait être admit des autres sans qu'on le toise avec méfiance. Il espérait une vie douce et tranquille. Ah! qu'il était heureux! [...] ~Voilà, une nouvelle se tourne. Elle est pour l'instant vierge, mais elle ne le restera pas longtemps. Cette histoire peut paraître bête, mais si vous essayez de vous mettre à sa place, vous verrez que l'amour qu'il portait aux autres pouvaient ressembler à de la confiance et qu'avec cette amour, il n'y aurait pas de différence entre un homme qui marche dans la rue et un homme en fauteuil roulant... Stop! Elle est bonne! On la garde! C'est fini pour aujourd'hui! Demain, même heure!~
5 années, voilà le temps qu'il a fallu à Sora pour que son destin change... Vous vous demandez sans aucun doute pourquoi... Je vais essayer de vous l'expliquer simplement.
Pacydna city, Sora y a vécu peu de temps, assez pour faire quelques rencontres plus ou moins importantes. Mais vous savez, le bonheur reste peu de temps, c'est justement un bienfait, si on ne connait pas la peine, on ne connait pas le bonheur... Donc, expliquons ce qui s'est déroulé ces 5 dernières années!
Il vivait gentiment dans Pacydna, ne se souciant pas de sa carrière ni d'autres problèmes récurrent à la vie d'une personne saine. Mais tous changea par un coup de fil, un appel banal qui impliqua de grands changements... Donc, Sora restait tranquillement dans son canapé, chez lui, dans son nid douillet dira-t-on. Il regardait la télé, sans aucune autre occupation, toujours avec un garde-du-corps ou un manager pour qu'il ne reste pas seul, dans cette grande salle colorée. Enroulé dans une grande couverture pour ne pas avoir froid, il tombait peu à peu dans les bras de Morphée, mais c'était sans compter le téléphone. Surpris et un peu dans les vapes, ce fut son manager qui décrocha le combiné et hocha la tête avant de le tendre doucement à Sora, tout en prononçant le mot magique, celui qui fit directement sourire l'homme à moitié endormi pour le réveiller entièrement...
Sora •« Allô? Maman? Cela me fait tellement plaisir de t'entendre! Oui, je vais bien! Toi et papa aussi? Comment? Ok! J'arrive le plus vite possible! »
Sora ne perdit pas un instant, sautant de son canapé et s'approchant de son manager, il lui fit part de son envie de retourner auprès de ses parents. Ni une, ni deux, le manager leur dégotait un billet pour rendre une petite visite à ses parents, qui le demandait sans tarder. Le soir, il préparait sa valise, il prit quelques vêtements, des objets inutiles mais mignon selon lui, des cadeaux pour ses parents, etc... Puis, il embarqua sans tarder, ne pensant pas qu'il ne reviendrait dans cette ville que 5 ans plus tard. Il disait presque adieu à une ville qu'il commençait à profondément aimer. Dans un jet privé, loué pour un transport rapide et sans encombre, Sora s'installait dans le fauteuil en cuir et commença à s'amuser à baisser et à remonter son siège, tout content de ses bêtises, sous le regard amusé de son manager.
Pendant ce temps, dans la demeure des parents, la maman de Sora regardait son mari et une autre personne, un ami de famille pas comme les autres. Cet homme était bizarre, il inspirait à la fois la confiance et à la fois le respect des années. Il était imperturbable, patient et regardait lentement autour de lui les décorations et les photos qui jaugeaient la pièce. Le père de Sora tournait en rond, la main sur son menton, s'arrêtant de temps en temps devant une photo de son fils adoré. Un sourire s'afficha sur les lèvres de l'invité puis il sirota délicatement une tasse de thé avant de décrocher un "cela ira, vous avez fait le bon choix". Comme si elle attendait cette phrase, la mère décrocha elle aussi un sourire timide. Pourtant, l'ambiance tendue resta dans le petit salon. La mystérieuse personne admirait maintenant la pièce remplis d'objets rappelant leur fils : photos, CDs, petites figurines et j'en passe. Il comprenait peu à peu la situation dans laquelle il allait devoir s’immiscer. Il se leva lentement et de façon assez solennelle avant de se diriger vers les parents de Sora pour leur tendre sa main droite. Après un serrage de main assez bref, il s'en alla, sachant qu'il reviendrait le lendemain. La journée allait être difficile et surtout très longue...
Le lendemain justement, Sora se retrouvait dans le salon familial en présence de ses parents, ayant repris des couleurs, tous sourire de voir leur enfant adoré. L'homme mystérieux de la veille était là aussi, toisant sympathiquement l'idole des jeunes filles qui lui rendait gentiment son regard, plus malicieux que jamais. Pendant de longues minutes de silence et de regards échangés, l'homme s'inclina légèrement pour saluer son interlocuteur avant de se présenter dignement. Ainsi donc, son nom était Hiroo Yusa. Sora ne savait pas comment réagir face à se japonais typique, brun, cheveux longs, yeux un peu plissés pour laisser passer un regard inexpressif, un sourire à la fois permanent et faux, un costard cravate des plus simples mais qui laissaient entrevoir une peau blanchâtre et surtout, son attitude faussement décontracté dans une position des plus droites et des plus solennelles. Il passa une main dans ses cheveux avant de rechercher dans sa poche un étui de lunette. Il sortit la paire qui s'y trouvait et les enfila avec une dignité qui faisait presque peur à Sora, ne sachant pas comment se comporter avec cet homme. Hiroo rejoignit ses mains et débuta un monologue:
Hiroo •« Je suis heureux de vous voir, Evans-san. Vous ne me connaissez pas mais nous allons apprendre à se connaître dans les prochains mois... Je suis psychiatre, vous devez vous dire que vous n'en avez pas besoin, mais je pense sérieusement le contraire. N'allez pas vous imaginer que je vous crois fou, je traite -si je peux employer ce terme- des personnes souffrant du syndrome de Peter Pan. Je suis vraiment épaté de voir qu'à ton âge, tu ne subisses pas les premiers effets troublant du syndrome. Tu sais, pour le moment, tu te sens peut-être très bien, mais les difficultés vont vite s'accumuler, pour toi et ton entourage. Je pourrais t'en parler pendant des heures, mais nous avons tous notre temps pour cela. J'ai commencé à en discuter avec tes parents et lorsque j'ai approfondis les choses, ils ont tous de suite accepté. Nous allons, si tu le désires, commencer une "thérapie". Il faut par contre que je t'informe de quelque chose, cette "thérapie" n'est pas anodine, elle traite un trouble que j’emploierais de mental et peut, dans certains cas très rare, aggraver le syndrome dans un stade supérieur. Ne te focalise pas sur ça, tout ira bien. Je te laisse un dossier avec certaines questions que tu dois te poser décrites à l'intérieur. Je te laisse une semaine pour te décider et d'ici là, pèse le pour et le contre. »
Son ton monotone, sa fausse tentative d'analyse -voire d'intimidation- et surtout, ce changement du "vous" pour le"tu" n'avait pas choqué Sora. Non, c'était plutôt le discours du psychiatre sur ce qu'il pourrait devenir. Que son syndrome s'aggrave? Qu'est ce qu'il entendait par là? Ses questions resteraient vaines jusqu'à ce qu'Hiroo revienne dans sa maison. D'ailleurs, celui-ci partit de la demeure des EVANS, laissant Sora dans le flou total. Sans se poser d'autres questions, il remonta dans sa chambre, désemparé et intrigué par la plaquette que lui avait donné Hiroo. Quand la porte claqua doucement, la mère de Sora se mit à trembler si fort que seul les bras de son mari purent la soutenir pour qu'elle ne tombe pas par terre. Elle empoigna assez fort le bras de ce dernier et plongea sa tête dans la nuque de son époux. Ils devaient se soutenir, car malgré ce silence pesant dans la maison, tous deux savaient que les jours heureux étaient terminés pour un moment, qu'ils ne reviendraient pas de sitôt. Cependant, les parents de Sora n'ignoraient pas le syndrome de leur enfant, ils n'avaient rien fait pour l'aider, ils l'avaient laissé devenir quelqu'un qu'il n'aurait dû être, pensant qu'il resterait heureux toute sa vie, mais c'était totalement faux. Ils s'en voulaient de devoir faire subir à leur fils une thérapie, car ils continuaient de penser que s'était de leur fautes si Sora était atteint du syndrome de Peter Pan. Pendant ce temps, notre jeune homme, assit sur son ancien lit, découvrait avec horreur ce que sa "maladie" -comme il pensait, déjà à cette époque- pourrait faire de lui: misogyne, narcissique, jouer l'adulte voire dépressif. D'abord, il ne voulait pas le croire, puis une évidence le frappa, à 22 ans, il restait différent des autres personnes et si son syndrome était justement "un syndrome", ce n'était peut-être pas pour rien. Il jeta le petit prospectus à ses pieds, puis pointa son regard vers les nombreux posters de ses tournées. Cela allait-il s'achever?
2 semaines plus tard, la décision fut prise. Sora, ses parents et Hiroo se trouvait maintenant devant un prestigieux hôpital psychiatrique du doux nom d'hôpital du "Soleil Bleu". Evidemment, ici, il était tabou d'employer le mot "psychiatrie" ou "fou" en général. Mais un chien errant restera ou toujours un chien errant, pourrait-on dire. Malgré les jolis jardins, les beaux bâtiments disséminés ici et là pour éviter une grosse structure macabre, l'hôpital resterait toujours cet hôpital où allait vivre un instant donné Sora. Les parents de ce dernier pleurait à chaudes larmes, ayant peur pour leur unique progéniture, Sora essayait pourtant de garder confiance, de jouer les grands idiots en rassurant sa mère comme quoi il irait bien, mais au fond de lui, une peur inexplicable lui tordait les boyaux. Il plongea son regard dans celui d'une personne assise sur un des bancs. Il toisa Sora intensément et d'un coup, il se mit à pleurer sans raison. « Rassurant... » pensa Sora après avoir sentit un frisson parcourir son cou. Hiroo avait vu ce drame quotidien au Soleil Bleu, son regard restait pourtant inchangé, comme s'il se doutait que Sora pourrait finir ainsi. Seulement, le défi était si tentant et si merveilleux à accomplir, de plus, la personnalité déchu -il fallait l'avouer, Sora n'était plus la grande star qu'il avait pu être- pourrait permettre à Hiroo de devenir célèbre dans le monde entier pour avoir soigné le jeune homme. Il serait prêt à tout, même à détruire et reconstruire entièrement la personnalité de son patient pour accomplir son rêve.
Sora était assit sur son lit, une infirmière était près de lui comme pour le rassurer. Hiroo rentra dans la salle et sourit gentiment à son patient. Hier encore, Sora découvrait sa chambre, une grande pièce spécialement réservée pour lui seul. Le lit était commun, mais les couleurs étaient vives comme de l'orange, du rouge et du jaune. Les vêtements de Sora, si chatoyants, avaient été remplacé par des Tee-shirt amples et des jeans sans personnalité. Sora se sentait assez mal, c'était d'ailleurs pourquoi il avait requis la présence d'Hiroo, étant le seul qu'il était autorisé à voir. Il avait des nausées et il n'avait pas dormi de la nuit. Hiroo fit un signe de tête à l'infirmière pour la congédier. Lorsque les deux hommes furent seuls dans la salle, Hiroo cacha mal son enthousiasme et sans le savoir, le début de la "guérison" allait bientôt commencer pour Sora. Le psychiatre s'approcha de la fenêtre, vérifia si elle était bien fermée et tourna lentement les talons. Sans un mot et sous les yeux ronds de son patient, il sortit de la salle. Un bruit de clé se fit entendre dans la pièce silencieuse et seul les battements dans ses tempes tira Sora de la rêverie. Il se leva et frappa machinalement à la porte, ayant peur que quelqu'un en sorte pour lui faire peur, mais seul un « Bonne chance » d'Hiroo lui fit comprendre la gravité de la situation. Il se jeta sur le petit bouton permettant d'appeler les infirmières, cependant, malgré ses efforts à faire retentir le bruit strident de la sonnette, aucune personne n'entra dans la pièce. Il était seul. Il tremblait tellement qu'il dut s'asseoir par terre pour ne pas tomber à la renverse. La psychose d'être abandonné, son besoin permanent d'être en présence d'autres êtres humains, tout resurgissait sous la forme d'une abominable terreur.
Les cris, les pleures, les coups contre la porte jusqu'à s'en faire saigner les mains, les objets lancés contre les murs, voilà ce qui fit le jeune homme dans sa chambre. Pendant une longue semaine, Sora fut privé du moindre contact humain. Pour ses repas, le personnel médical attendait que le bonhomme aux cheveux rouges dorme ou plutôt s'endorme à cause de l'épuisement, pour lui apporter de quoi se nourrir. Mais, même avec ça, il perdit plusieurs kilos parce qu'il refusait de s'alimenter. Le beau Sora au sourire si doux et si communicatif n'était plus que l'ombre de lui-même. Des cernes énormes sous les yeux, des traces de sanglots creusés sur ses joues déconfites et sombres, des yeux tournés dans l'inconnu et n'apportant aucun élément de communication que lui seul avait le secret, ses lèvres ternes n'affichaient qu'une morne grimace de peur, mêlée à la rage et à la douleur. Recroquevillé contre un mur, ne prêtant même pas attention à la pluie battante qui coulait contre la vitre, Sora n'était vraiment plus reconnaissable. Cependant, au bout d'une semaine de captivité et seulement au bout de ce laps de temps infernal pour Sora, la porte s'ouvrit et Hiroo entra dans la pièce, toisa son malheureux patient et dans un souffle, prononça un « Nous pouvons commencer... » qui sonna comme une sentence pour le jeune homme. Si chaque épreuve du psychiatre était ainsi, Sora redoutait la prochaine... Ils se retrouvèrent dans une pièce froide, sans charme, sans charisme pourra-t-on expliquer. Sora était dans un fauteuil en cuir noir alors que son interlocuteur était debout, derrière lui. Hiroo s'approcha de son patient et posa sa main sur l'épaule du jeune garçon.
Hiroo •« Alors? Comment te sens-tu maintenant? Tu sais dés à présent que tu peux parvenir à vivre sans la présence d'une autre personne près de toi. Beaucoup de gens vivent seul, un enfant n'y arriverait pas, mais toi, en tant qu'adulte, tu dois y arriver... Non, tu y es parvenu. »
Sora •« ... Je... Je vous déteste... »
Hiroo •« Parfait, je ne suis pas là pour me faire aimer. En fait, je dirais même que tu ne me déteste pas pour l'instant, car cette épreuve était la plus simple, donc tu risques fortement de me détester à la fin... Bon, nous allons débuter les vrais exercices pour que tu deviennes un adulte responsable et autonome. »
5 ans plus tard, le réveil sonna dans l'immense appartement de Sora, il éteignit la sonnerie avant de voir l'heure qu'il indiquait. 7 heure du matin, comme d'habitude, pensa l'homme en sortant de l'étreinte de ses draps. Comme chaque matin, il ouvrit les stores électriques, dévoilant d'immense baies vitrés tourné vers le centre de New York. La "sky line" lui tendait ses bras et avec un ravissement mal dissimulé, il se permit même quelques pas de danse vers sa cuisine. Il en profita pour allumer son répondeur, qui affichait déjà 5 messages en son absence.
« BIP, reçu hier à 9h14 " Salut Sora, c'est Ju', tu sais, la fille avec qui t'a pas arrêté de danser bourré à la soirée VIP! Voilà, je pensais peut-être que... Enfin, si tu repasses du côté de Las Vegas, n'oublie pas de me recontacter. Bisou!"
« BIP, reçu hier à 13h56 " Bonjour mon chéri, c'est maman. Je voulais savoir si tu allais bien et si tu pouvais me rappeler. Je voulais en fait organiser une grande fête pour l'anniversaire de ton père, du coup je pensais que cela te ferais plaisir d'y participer, voire d'organiser si tu as le temps. Bisou mon coeur... "
« BIP, reçu hier à 14h25 " Yo mec! C'est ton producteur adoré...! J'ai une super nouvelle! Tu sais le mec qui a fait un tube avec un air bidon, tu vois l'autre avec sa mèche bleue et verte qui a vendu un bon paquet de disques depuis 1 mois, il voudrais faire un featuring avec toi. Je te dirais pas le montant estimé pour le single, mais imagine pleins de zéro... Rah, j'suis riche depuis que t'es là, baby! Bon, t'as intérêt à ramener tes fesses rapidos!
« BIP, reçu hier à 22h53 " Bonsoir Sora, c'est Hiroo, je voulais savoir comment tu allais depuis la dernière fois que l'on s'est vu. Je passe bientôt du côté de New York, on devrait reprendre un verre à l'occasion. Oh, j'allais oublier! Tu devrais recevoir dans peu de temps mon livre en avant-première. Je voudrais que tu me dises ce que tu en penses avant que je remette la maquette entière à l'éditeur. Bonne soirée, je présume...
« BIP, reçu ce matin à 00h06 "Bonjour, j'appelle de la part de la préfecture de Pacydna City, nous avons retrouvé une peluche portant votre nom et prénom. Après recherche, nous avons obtenu votre numéro de téléphone et nous espérons que vous reviendrez rechercher votre objet. Sinon, vous n'avez qu'a nous rappeler pour que l'on jette ou donne cette peluche. Merci de votre compréhension.
« BIIIIPPP...
Sora s'arrêta de boire son café au dernier message. Pacydna City? Ce nom lui disait quelque chose. Puis, après un temps de réflexion -on est le matin, il ne faut pas l'oublier-, Sora sauta de sa chaise et prit dans la volée son téléphone portable. Il passa un appel rapide à son producteur, Bradley -"Brad"- Smith, un anglais ayant vécu entièrement à New York, d'où son langage assez cru malgré son nom de grande famille. Sans hésitation, le chanteur obligea son ami à faire le déplacement jusqu'à Pacydna City. Après une heure de discussion à sens unique, Sora eu le dernier mot. Ensuite, il prit un taxi pour rejoindre son jet privé...
Pacydna City. Il avait tout plaqué d'un coup pour retrouver cette ville merveilleuse, là où il avait rencontré des gens formidables et pourtant, tout avait changé. Ce lieu ne devait accueillir que des handicapés, mais depuis peu, des gens sans aucun handicap venaient déambuler dans les rues. Avec des lunettes de Soleil, un blouson noir, un tee-shirt vert pâle et son jeans délavé, il passait totalement inaperçu. Brad le suivait à la trace, se sentant mal à l'aise dans cette ville où les fauteuils roulants circulaient librement et les gens avec des cannes blanches attendaient gentiment sur le bord de la route que la couleur soit indiquée par une voix féminine. Brad craignait ce que voulait lui faire montrer son "prodige". Il ne fut pas déçu de sa vision, une sublime villa inhabitée, enfin, pour le moment, déclara avec amusement Sora. Brad passa sa main dans ses cheveux, soupira un long moment et ne put que répondre « Tu me le paieras avec tes caprices... »
Vous êtes ? Âge : 19 ans >w<Passion(s) : Ecrire, graph'Travail/Études : OstéopathieComment avez-vous connus le forum ? : Bah j'étais déjà là, donc...! xDUn de vos proches est-il en situation de handicap ? : NonUn dernier mot ? : ENJOY! c:
Dernière édition par Sora Evans le Mer 06 Mar 2013, 18:24, édité 9 fois